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Pendant les cours de piano, les étudiants jouent un répertoire de quatre périodes différentes: baroque, classique, romantique et XXème siècle/contemporain.

Les caractéristiques de chaque période seront expliquées aux étudiants. Les étudiants ont besoin de connaître la différence entre les caractéristiques afin d’exécuter correctement le morceau.

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Ton et technique

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J’utilise une technique qui implique le haut du corps et un mouvement des bras. La clé est de comprendre la connexion entre les doigts et le haut du corps. Le poids est contrôlé pour créer une gamme dynamique (de ppp à fff) avec une bonne qualité du ton évitant ainsi un son dur et agressif.

Il doit exister une différence claire entre la touche « legato », « non-legato » et « staccatto ».

 

Par exemple, pour créer un son « legato » correct, un mouvement de bras sur le clavier vers le passage est nécessaire. Le poids doit être transféré d’un doigt à l’autre. Non-legato et staccatto doivent être différents l’un de l’autre et ils impliquent l’utilisation du poids du corps, de mouvements du poignet et des bras.

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Il est ​démontré en studio

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Lecture

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A part la lecture des livres que les étudiants élémentaires jouent, j’utilise des petites cartes pour améliorer leur lecture. D’un côté de la carte, le quart d’une note est affichée. Je crée des jeux pour de jeunes élèves de niveau « élémentaire » comme coupler les cartes (les notes) qui sont les mêmes mais ont une octave en dessous ou au dessus (par exemple, coupler le moyen « C » ou « do » avec un autre « C » ou « do » une octave au dessus).

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Improvisation

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Les étudiants « élémentaires » sont encouragés à improviser au piano. Des cartes sont à disposition sur mon piano avec des titres sur chaque carte telle que « vent », « patinage », etc… Au début de chaque leçon, l’étudiant commencera par choisir une carte au hasard et improviser en se basant sur le titre de la carte.

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Interpretation

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Questions fréquemment posées

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Un des aspects clés de l’apprentissage est de demander aux étudiants de donner leur propre interprétation du morceau. Ces questions permettent souvent de donner à l’élève un aperçu de l’interprétation du morceau. Donc, l'interprétation provient de l’étudiant. 

Par exemple, j’enseigne le prélude en mi mineur de Chopin. Quand un étudiant a appris le morceau avec les deux mains, je commence à lui poser les questions suivantes : 

- Quel partie du morceau doit ressortir d’après toi ? Pourquoi ? 

- Quelle partie du morceau doit être jouée plus doucement? Pourquoi ? 

- Les accords doivent-ils être joués détachés ou connectés ? Pourquoi ? 

- Comment connectes-tu les accords ? Pourquoi ? 

- Quand est-ce que tu dois utiliser la pédale ? 

- Quand dois-tu changer la pédale ? 

Ces questions gardent l’esprit de l’étudiant actif et l’aident à interpréter le morceau. Chaque question met en lumière un aspect de l’interprétation.

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Apprendre le morceau

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Toute bonne performance doit d’abord être conceptualisée au préalable dans l’esprit.

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C’est uniquement lorsque l’interprète a une maitrise totale du morceau qu’il peut véritablement le jouer de manière neuve.

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Chaque morceau doit être d’abord appris en jouant des deux mains et le jouant d’une seule main afin de donner de l’indépendance aux mains et éviter la routine. Les interprètes doivent toujours mémoriser les morceaux dans les deux mains séparées puis ensemble.

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Plusieurs pratiques sont utilisées afin d’avoir une parfaite appréhension de la musique. Certaines de ces pratiques ont pour objectif de dépasser des obstacles physiques inhérents au jeu de certains morceaux et d’autres afin de mieux appréhender mentalement un morceau.

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Des exemples sont démontré en studio.

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Un des points importants de ma méthode est de continuellement stimuler l’attention de mes étudiants, faire en sorte qu’ils ne soient jamais passifs.

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